Le cabinet Waquet Farge Hazan Féliers est avocat au Conseil d’État et à la Cour de cassation. Il est composé de quatre associés, Claire Waquet, Hélène Farge, Hervé Hazan et Dorothée Féliers, qui exercent entourés d’une équipe pluridisciplinaire de collaborateurs formés à la technique de cassation et d’une équipe administrative expérimentée. Le cabinet représente ses clients devant ces juridictions, en toutes matières, en demande, en défense ou en qualité d’intervenant.
Wacquet Farge Hazan
Nos domaines de compétence
Le cabinet fonctionne grâce une synergie étroite entre les associés, les collaborateurs et l’équipe administrative. Chaque dossier est pris en charge par les associés, qui s’appuient dans leur étude sur une équipe pluridisciplinaire de collaborateurs capables d’intervenir sur les questions les plus techniques, que ce soit en matière civile, commerciale, sociale, administrative, pénale.
Toutes les affaires que nous traitons bénéficient de ce double regard, à la fois sur le fond du dossier que sur les questions propres à la technique de cassation. Les aspects procéduraux et administratifs sont suivis par les associés et l’équipe administrative, expérimentée et rompue aux spécificités de nos contentieux.
Notre cabinet
Le cabinet a été fondé en 1967 par Philippe Waquet, avocat aux Conseils devenu par la suite doyen de la chambre sociale de la Cour de cassation. Depuis cette date, la protection des libertés et l’attachement aux droits de la défense ont été la boussole et la marque de notre cabinet.
Nos dernières actualités
Les décisions de nos juridictions suprêmes n’intéressent pas que les parties au procès : elles contribuent à fixer l’état du droit et nous concernent tous. Retrouvez ici les certaines des décisions marquantes obtenues par le cabinet.
L'exécution provisoire d'une peine pénale d'inéligibilité ne poserait aucune question sérieuse de constitutionnalité
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Sans fouille ni saisie, pas de perquisition, donc pas de protection
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L'état de récidive est-il caractérisé par une précédente condamnation rendue par un juge étranger ?
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La Cour de cassation refuse de transposer la jurisprudence du Conseil d'Etat Czabaj permettant de passer outre la mauvaise notification d'une décision
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